C’est une clarté après un ciel si bas, si noir,
Pas même le soleil, juste une lueur d’espoir.
C’est un bourgeon qui pose un peu de vert
Sur l’arbre presque mort et alors on espère
Qu’un jour viendra au coin des lèvres peut être,
Le début d’un sourire qui dira le mieux être.
C’est une senteur sur les ailes du vent
Qui annonce comme un nouveau printemps.
C’est un ruisseau jaillissant des profondeurs
Qui amène avec lui un peu de sa douceur
Et s’en va rafraîchir enfin la terre désolée,
Quand bien même il ne ferait que passer.