Je ne suis pas Rimbaud, je ne suis pas Baudelaire
Je ne suis qu’un quidam plein de mystère
Un jour, mes yeux sur vous se sont posés
Une nuit au clair de la lune, votre sonate m’a envoûté
Je ne suis qu’un elfe qui trace des vers
Décrivant la vie, le monde, l’amour et ses mystères
Chant enivrant, chavirant sur les plages de mon cœur
Votre si douce mélodie me comble de bonheur
De ma plume sous la lune scintillante, sans nuage
Je compose cette ode en revoyant votre visage
Douce Varda Elentaari, vous dire mille choses
Une prose vaut elle mieux que mille roses ?
Sous ce ciel éclairé navigue mon bonheur
Je vous envoie un bateau de caresses
En direction de votre cœur,
Sur un océan de tendresse
Tendre muse, vous êtes devenue le soleil de ma vie
Les étoiles dans mes yeux, la lune dans mon cœur
Oh toi qui a comblé mon cœur de moult fleurs
Voici les clés de mon jardin, les voici pour la vie
Je ne suis à ce jour qu’un poète en quête d’amour
Mon cœur est prisonnier de votre image pour l’éternité
Je n’ose le dire, vous êtes une divinité
Douce Varda, mon cœur est à vous pour toujours
Tendre passion, douce muse !!!
Je t’aime !! Je t’aime !!