La nuit s’étole doucement, alors que le soleil ploie
Seule, dans cette pièce, dans la pénombre orangée
Tu t’étires lentement, sous ce ciel étoilée
Le cœur libre, dans tes yeux, un soupçon d’émoi
Une douce mélodie égaye harmonieusement la chambre
Douce et lascive, tendrement tu te cambres
Je suis là, dans le noir, à te contempler amoureusement
Tu me regardes sans me voir, mystérieusement
Délicatement, tu poses ta couronne sur la commode
Reine de mes nuits, sans cesse, mon cœur tourbillonne
Invisible à tes yeux, je suis pourtant bien commode
L’exquise d’un sourire dans la nuit qui chantonne
Ô douce muse, te contempler à loisir, pouvoir te séduire
Sur ta peau , si douce, de gel, j’aimerais t’enduire
Doucement, ta robe tu enlèves, laissant voir ta peau blanche
Me laissant voir ton corps, la beauté de tes hanches
Douce et légère dentelles caressent ta peau
J’aimerais dans ton cou poser un baiser chaud
Le tissus collant aux galbes de tes seins
Une pale blancheur fait ressortir tes reins
Varda Elentaari, laisse moi entre voir
Dans ton décolleter si mignon
La douceur d’un rêve, de si doux tétons
Qui sous la lune se laissent entrevoir
Sur la chaleur de ton corps, promener mes mains
J’aimerais parcourir ton corps, jusqu’au petit matin
Si belle et si sensuelle, dans ces dessous affriolants
Mon cœur bat sans cesse et fait bouillir mon sang
Douce muse toi dont le sourire est ravageur
Tu m’aguiches de ta tenue légère, je suis en sueur
Dans la moiteur d’un tendre été
Une ravissante déesse, je ne peux que désirer
Sur ta bouche, un mot suspendu à mon cœur
De douces lèvres rose parfumées
A ton regard de féline, je ne peux que succomber
Appelles moi !! Ouvres toi au bonheur !!
Ondine de mes nuits, à toi je proclame
Ton corps est une beauté qui reflète ton âme
Ne pouvant le toucher, je te veillerais tous les soirs
Car, hélas, je ne suis qu’un simple miroir