Me promenant, virevoltant dans le vent,
Par monts et par vaux, je passe le temps.
Le passage, près d’une rivière,
Devient très vite un grand mystère
Quelle voix !! Quel ange près de moi ?
Seul sur pont, je ne voie
Que la luminosité de la lune
Et une douce muse tenant sa plume .
Dans cet arbre perché, je te voie là chantonnant
Ici sur l’herbe, je m’assieds en t ‘écoutant
Douce mélodie qui me redonne vie
Simple mélopée, doucement mon cœur revit
Là dans le sillage d’une nuit d’été
De ta voix, tu m’as hypnotisé
La douceur de ton âme égaye mon paysage
Quand doucement tu t’es approché
Je n’ai pas voulu te toucher
Caresser ton doux et frêle visage
Depuis cette sonate au clair de lune,
J’ai repris ma plus belle plume
Et de ce jour tu m’as conquis
Ma douce et tendre Varda Elentaari
A toi douce damoiselle
Qui de sa voix m’a fait pousser des ailes