Un matin je me suis réveillé
L’ame enjoué, le cœur en gaieté
Mon esprit joyeux doucement chantonnait
Dans la campagne les oiseaux gazouillaient
Le ciel d’un profond bleu
Me rendait les jours bien moins ennuyeux
Erollisi doucement était arrivé
Dans la ville tous participaient aux festivités
Les fleurs s’étalaient a profusion
Laissant les cœurs se remplir de passion
Tout mon être virevoltait dans cet azur
Je l’aimais je ne pouvais en être plus sur
Chez le marchand, un bouquet de rose j’ai acheté
Délicatement au pas de sa porte je l’ai déposé
Un poème écrit sur du papier y était ajouté
Ces vers plein d’amour emplissait les lieux
Mon cœur battait la chamade !! qu’allait elle
pensée ?
Là sur mon nuage je volais dans les cieux
Un ange était passé, d’une flèche, il m’avait transpercé
Mille douceur d’être comblé de bonheur
Las, le temps d’un pas, le temps d’une pensée
Lentement je me suis avancé,
Un cavalier pressé m’a bousculé
Les secondes, durant la chute ,devenaient une éternité
Ma tête, lourdement, est retombée sur le pavé
Tunare !! je ne bouge plus !!
Une rivière rouge s’échappe de mon être
Hélas Tunare ! tes anges m’appellent
Mon cœur lourdement saigne !!
Blessé dans mon âme et dans ma chair
C’est avec grand regret que je quitte cette Terre
L’amour doucement s’était installé
Le destin autrement en a décidé !!
Moralité :
Si tu tiens l’amour entre tes mains demande
Toi si c’est l’amour qui te tiens ou la mort