Las de la vie ou de la mort
Las d’attendre que l’on me fasse du tord
En ces jours de fête, j’ai entamé ma quête
Là devant la porte de ma demeure
Doucement je ferme mon cœur au bonheur
Découvrir d’autres choses, de nouvelles conquêtes
Là sur ces terres qui m’ont accueilli
Je tourne le dos, je tire un trait sur ma vie
Je ne regrette ni le bonheur, ni le malheur
Mais que peut on faire quand saigne son cœur
Tant d’amis sont partis, tant de larmes ont coulées
En cet instant, une rivière coule de mes yeux
Moi qui rêvais de moment merveilleux
Je dois m’incliner sur le destin
Je ne serais plus là demain
Alors que la vie me souriait
J’avais accroché dans le ciel
Mon cœur dans les étoiles
Doucement cet amour grandissait
La vie était plus douce que le miel
Hélas, mon cœur est tombé
Laissant échapper le bonheur rencontré
Mon esprit au plus bas dois se refaire
Loin d’ici, je vais entamer ma prière
Un jour peut être je reviendrais plus résistant
Qu’importe les secondes, les heures ou le temps
La clé doucement j’enlève
Verrouillant les émotions de mon cœur
Mon jardin secret est à nouveau scellé
Et je doute qu’une femme puisse y pénétrer
Rejetant, à présent, toute idée du bonheur
Je pars sur ces nouvelles routes, alors que le jours se lève
PS : prenez soin de vous mes amis
Souvent la méditation est salvatrice de l’esprit
J’aurais passé de bon moment à vos cotés
Mais mon esprit est trop triste, je dois le libéré